Depuis vendredi soir, ou plutôt devrais-je dire samedi très tôt dans la matinée, un sourire ne me quitte plus. C'était bien. Voilà qui me motive pour aller de l'avant, avec appétit. Je commence à me fatiguer de cette période intermédiaire. Encore un mois, peut-être deux à vivre chez mes parents. Argh. Je veux ma nouvelle vie, maintenant ! J'ai tant de choses à faire, à changer, à expérimenter. Sur le plan professionnel, je suis revenu de Paris avec autant de projets plus ou moins réalisables que de questionnement. Combien de temps pour apprendre conjointement l'allemand, l'italien et l'espagnol ? Ha. Je suis rattrapé par mon passé de scientifique, dirait-on. Visite au notaire, visite à l'avocat. J'accuse le coup en sortant, mes larmes entraînent les siennes, elles coulent sur l'épaule l'un de l'autre. Vite, vite, on parle d'autre chose, on plaisante, on s'essuie les yeux, on retourne à l'air libre. Penser à demain. Je vous ai dit ...