Depuis vendredi soir, ou plutôt devrais-je dire samedi très tôt dans la matinée, un sourire ne me quitte plus. C'était bien. Voilà qui me motive pour aller de l'avant, avec appétit.
Je commence à me fatiguer de cette période intermédiaire. Encore un mois, peut-être deux à vivre chez mes parents. Argh. Je veux ma nouvelle vie, maintenant ! J'ai tant de choses à faire, à changer, à expérimenter.
Sur le plan professionnel, je suis revenu de Paris avec autant de projets plus ou moins réalisables que de questionnement. Combien de temps pour apprendre conjointement l'allemand, l'italien et l'espagnol ? Ha. Je suis rattrapé par mon passé de scientifique, dirait-on.
Visite au notaire, visite à l'avocat. J'accuse le coup en sortant, mes larmes entraînent les siennes, elles coulent sur l'épaule l'un de l'autre. Vite, vite, on parle d'autre chose, on plaisante, on s'essuie les yeux, on retourne à l'air libre. Penser à demain.
Je vous ai dit que Mlle Coquelicot a la grippe ? C'est peut-être la dernière chose qu'elle me laissera... De mon côté, dans la colère de cet été, j'avais décidé de lui refuser le droit de porter mon nom de famille. Finalement, pour le bien des enfants, mais aussi pour elle, j'y ai renoncé. Le voilà mon dernier cadeau.
En attendant noël.
Je commence à me fatiguer de cette période intermédiaire. Encore un mois, peut-être deux à vivre chez mes parents. Argh. Je veux ma nouvelle vie, maintenant ! J'ai tant de choses à faire, à changer, à expérimenter.
Sur le plan professionnel, je suis revenu de Paris avec autant de projets plus ou moins réalisables que de questionnement. Combien de temps pour apprendre conjointement l'allemand, l'italien et l'espagnol ? Ha. Je suis rattrapé par mon passé de scientifique, dirait-on.
Visite au notaire, visite à l'avocat. J'accuse le coup en sortant, mes larmes entraînent les siennes, elles coulent sur l'épaule l'un de l'autre. Vite, vite, on parle d'autre chose, on plaisante, on s'essuie les yeux, on retourne à l'air libre. Penser à demain.
Je vous ai dit que Mlle Coquelicot a la grippe ? C'est peut-être la dernière chose qu'elle me laissera... De mon côté, dans la colère de cet été, j'avais décidé de lui refuser le droit de porter mon nom de famille. Finalement, pour le bien des enfants, mais aussi pour elle, j'y ai renoncé. Le voilà mon dernier cadeau.
En attendant noël.
Oui, je connais cette période intermédiaire avec retour chez les parents... Sur le moment, le temps paraît s'étirer en longueur mais bon, bien nécessaire d'y passer. Le mieux, c'est de s'occuper de l'avenir! Comme par exemple, les 3 langues que tu voudrais apprendre! Ca c'est du challenge!:-)
RépondreSupprimerBon courage pour ces quelques semaines chez tes parents, mais c'est chouette que tu te projettes dans l'avenir.
RépondreSupprimerAllemand, italien et espagnol, rien que ça ! Tu as sûrement des bases dans l'une d'entre elle, des restes de seconde langue, non ?
Comment je suis super fière de toi, té !
RépondreSupprimerUne période qui s'ouvre et s'annonce deja avec bcps de nouvautés !
RépondreSupprimerPour les langues je ne sais pas :P En tout cas un projet ambitieux.
Ah, il y a une incompréhension sur les langues ! Je n'ai pas l'intention de me mettre à l'allemand, l'espagnol et l'italien (même si j'aimerai bien). Au salon où j'étais ce weekend, j'ai demandé à un éditeur s'il avait des places salariées dans sa boîte. Et il m'a répondu qu'il faudrait que je parle plus de langues, en plus à un niveau suffisant pour traduire du français vers ces langues ! Arf.
RépondreSupprimerJ'ai des restes microscopiques d'espagnol, mais c'est tout. :(
Tant pis, je ferai autre chose !
Très joli billet...
RépondreSupprimerMerci :)
Cachou
Bonjour vous !
RépondreSupprimerRavie d'avoir de vos nouvelles et de voir que votre esprit est tourné vers votre nouvelle vie à présent. Je vous la souhaite douce et colorée, pleine de découvertes et de nouveautés. Au plaisir de vous revoir prochainement, peut être sur la capitale...
Bises et portez vous bien !
Clémentine
Cette note est émouvante je trouve... ca me rappelle aussi des souvenirs...
RépondreSupprimerTranche de vie...
RépondreSupprimerNous vous souhaitons à tous les deux pleins d'autres bonheurs à vivres (en dehors de la grippe)
Cachou : je pense à toi, et bien plus encore.
RépondreSupprimerClémentine : douce et colorée, oui, c'est mon souhait ! A bientôt, sûrement :)
Sext' : seriez-vous vous aussi passé par la douleur d'une séparation ? Ou par le bonheur de se sentir vivant après coup ? :)
Oxanne et Jori : j'ai échappé à la grippe, Mlle Coquelicot ne devait pas être assez contagieuse. Il faut croire que la fin des bisous n'a pas que des désavantages !
Par les deux... sourire
RépondreSupprimerUne séparation, un nouveau souffle et des retrouvailles.
Tiens... je pensais avoir commenté chez vous.
RépondreSupprimerCensurée ?
B
Oh, non, pas de censure chez moi. Je laisse ça à Agnes Giard... Je soupçone une erreur de manipulation,ou l'appétit dévorant du grand Gnap d'Internet !
RépondreSupprimerPour la transition chez les parents...
RépondreSupprimerDisons que c'est bien parce que c'est un passage transitoire...Rires
Pour les cours de langues? Hummm je crois savoir que certaines bloggeuses (moi y compris) ont des connaissances en langues étrangères! hahaha
Pour le coté généreux, cher Jules...ça ne m'étonne pas du tout!
On ne se refait pas, hein?
Gros bisoo et surtout "changes rien"
"Chapeau" ?? Moi j'aurai préféré conserver "Coquelicot" ! ;o))
RépondreSupprimerTu as raison, vaut mieux faire ça dans l'intelligence que dans le ressenti...
Et oui, maintenant, une deuxième vie t'attends !
Bises de papillon
Miss Anis : eh non, on ne se refait pas. :)
RépondreSupprimerVéro : pour l'instant, c'est plutôt moi qui l'attends ! héhé.