Calvin Coolidge était un président américain. Suite à une anecdote (probablement apocryphe) à son sujet, on a donné son nom à un phénomène biologique intéressant en premier lieu les libertins.
Grâce à l'effet Coolidge, les animaux mâles peuvent copuler plusieurs fois de suite, sans période réfractaire. Mais à condition de changer de partenaire...
Et cet effet s'applique aussi aux humains. Je l'ai constaté en club libertin. Epuisé et comblé par une partenaire, mon désir peut renaître si une autre me sollicite.
Le même phénomène peut expliquer pourquoi on pense facilement à une autre personne que celle à qui l'on fait l'amour : pour activer l'effet Coolidge et rester plus longtemps en forme. Inutile donc de décomplexer à ce sujet, cela annulerait tous les avantages de cette technique !
L'histoire raconte que le couple Coolidge était en visite, durant son mandat, dans une ferme modèle du gouvernement. Pendant que le président visitait une autre partie de la ferme, la première Dame visitait le poulailler. Le fermier lui expliquait que le coq copulait toute la journée, et des dizaines de fois par jour. Là-dessus, la First Lady lui aurait dit : "Racontez donc cela au Président".
Après avoir à son tour été informé sur les habitudes sexuelles du coq, le président aurait répliqué : "Toujours avec les mêmes poules ?". Bien entendu, l'agriculteur démentit puisque le coq s'occupe de tout le poulailler. Le président aurait alors répondu : "Racontez donc cela à mon épouse".
(source : Wikipédia)
Grâce à l'effet Coolidge, les animaux mâles peuvent copuler plusieurs fois de suite, sans période réfractaire. Mais à condition de changer de partenaire...
Et cet effet s'applique aussi aux humains. Je l'ai constaté en club libertin. Epuisé et comblé par une partenaire, mon désir peut renaître si une autre me sollicite.
Le même phénomène peut expliquer pourquoi on pense facilement à une autre personne que celle à qui l'on fait l'amour : pour activer l'effet Coolidge et rester plus longtemps en forme. Inutile donc de décomplexer à ce sujet, cela annulerait tous les avantages de cette technique !
Ha ces présidents d'amérique et le sexe...
RépondreSupprimerJ'aime pas être comparée à une poule, ils ne pouvaient pas plutôt visiter la bergerie ? C'est meugnon une brebis avec sa barbichette, ses petites zoreilles et sa touche de paille qui dépasse des babines quand elle machouille.
Bon ok le boulot déteint sur moi, j'arrête la parenthèse zoologique.
La période réfractaire des hommes, moi j'aime !
Le temps de faire autre chose que le sacro-saint coït. Mais surtout le plaisir de créer le re-réveil, sous nos doigts/langues. Plaisir qu'on n'a pas forcement eu quelques minutes avant, si monsieur a été immédiatement en forme olympique.
Je suis d'accord avec vous Missdactari, il n'y a pas que la pénétration, et un homme qui ne s'intéresserait qu'à cela ne serait pas un amant passionnant à mon gout... prendre (un peu de) temps pour se re découvrir...
RépondreSupprimerMiss Dactari : personnellement, pendant la période réfractaire, je n'ai plus du tout envie de sexe (et pas seulement de coït). Des câlins, oui. Mais le désir sexuel s'envole avec l'orgasme. (Et revient plus ou moins vite...)
RépondreSupprimerLibert_ine : Et inversement. Néanmoins, j'ai plus souvent connu des femmes qui me demandaient d'écourter les préliminaires pour passer à la pénétration que le contraire !
Ah tiens, je me demande si je ne suis pas immunisé... mais il faudra que je teste sérieusement.
RépondreSupprimerAssez d'accord avec missdactari moi qui aime bien les câlins après l'effort.
Même si un câlin peut facilement déraper sur une intervention bucco-génitale dans les règles.
Plus envie de coït ne veut pas dire plus envie de cunni (en ce qui me concerne).
J'adore ce blog, il casse mes affreux préjugés sur les libertin(e)s
RépondreSupprimerpériode réfractaire... c'est un mot qui fait un peu froid, recharger le stylo est plus parlant pour moi.
V