Voici un texte que j'ai écrit en commentaire sur le blog d'Evanescence. Je me permet de le reposter ici.
La porte s'ouvre sur un appartement plongé dans la pénombre. Comme lors d'une nuit sans lune, seul les silhouettes argentées des meubles t'apparaissent, illuminés par les rares rayons traversant les volets fermés.
Tu fermes la porte derrière toi. La musique classique agrémentant l'endroit chasse aussitôt le bruit de l'extérieur. Déjà, tu oublies voitures, trains et passants. Tu es ailleurs.
On t'appelle depuis le salon. Une voix d'homme, sensuelle, peut-être un peu nerveuse. Tu le devines plus que tu ne le voies vraiment. Il te demande de t'approcher de lui. Tu as d'abord une seconde d'hésitation, et puis tu te dis que c'est ce pour quoi tu es venue. Sans lâcher ton sac, tu marches lentement vers le divan.
L'homme est assis, il ne dit plus rien. Tu sais qu'il te regarde, qu'il te dévisage de haut en bas. Il ne dit toujours rien, toi non plus. Alors, tu continues à avancer, jusqu'à être juste devant lui.
Il se redresse, se penche vers toi, toujours assis. Il te hume, s'imprègne de ton odeur. Tu aperçois son bras qui bouge, et avant que tu n'ais le temps de penser, sa main se pose sur ta hanche. Elle te caresse avec autant de fermeté que de douceur. Elle remontejusqu'à ta taille, redescend le long de la cuisse, fait le tour du genou.
Du bout des doigts, l'homme jauge la texture de tes bas. Sa deuxième main rejoint la première, non sur l'autre jambe, mais sur la même. Elles remontent toutes les deux, enserrant ta cuisse de part et d'autre, comme un massage. Elles tournent en remontant ta jupe, l'une allant sur la fesse, l'autre sur le ventre. Elles s'arrêtent au bord de tes sous-vêtements.
L'homme se penche en avant, sa tête s'approche de ton corps. Il dépose du bout des lèvres un baiser sur ta peau, tout juste entre la cuisse et le ventre, là où elle plie, là où elle est si douce. Un petit baiser, doux et tendre, suit immédiatement le premier, plus marqué. Tu lâches ton sac pour prendre sa tête à deux mains.
(...)
La porte s'ouvre sur un appartement plongé dans la pénombre. Comme lors d'une nuit sans lune, seul les silhouettes argentées des meubles t'apparaissent, illuminés par les rares rayons traversant les volets fermés.
Tu fermes la porte derrière toi. La musique classique agrémentant l'endroit chasse aussitôt le bruit de l'extérieur. Déjà, tu oublies voitures, trains et passants. Tu es ailleurs.
On t'appelle depuis le salon. Une voix d'homme, sensuelle, peut-être un peu nerveuse. Tu le devines plus que tu ne le voies vraiment. Il te demande de t'approcher de lui. Tu as d'abord une seconde d'hésitation, et puis tu te dis que c'est ce pour quoi tu es venue. Sans lâcher ton sac, tu marches lentement vers le divan.
L'homme est assis, il ne dit plus rien. Tu sais qu'il te regarde, qu'il te dévisage de haut en bas. Il ne dit toujours rien, toi non plus. Alors, tu continues à avancer, jusqu'à être juste devant lui.
Il se redresse, se penche vers toi, toujours assis. Il te hume, s'imprègne de ton odeur. Tu aperçois son bras qui bouge, et avant que tu n'ais le temps de penser, sa main se pose sur ta hanche. Elle te caresse avec autant de fermeté que de douceur. Elle remontejusqu'à ta taille, redescend le long de la cuisse, fait le tour du genou.
Du bout des doigts, l'homme jauge la texture de tes bas. Sa deuxième main rejoint la première, non sur l'autre jambe, mais sur la même. Elles remontent toutes les deux, enserrant ta cuisse de part et d'autre, comme un massage. Elles tournent en remontant ta jupe, l'une allant sur la fesse, l'autre sur le ventre. Elles s'arrêtent au bord de tes sous-vêtements.
L'homme se penche en avant, sa tête s'approche de ton corps. Il dépose du bout des lèvres un baiser sur ta peau, tout juste entre la cuisse et le ventre, là où elle plie, là où elle est si douce. Un petit baiser, doux et tendre, suit immédiatement le premier, plus marqué. Tu lâches ton sac pour prendre sa tête à deux mains.
(...)
J'en aime la douceur et l'impétuosité...
RépondreSupprimer:)
Cachou
C'est un délicat partage... Merci encore pour ce texte (et sa suite) qui m'a particulièrement touchée.
RépondreSupprimerJe trouve ton texte touchant. :-) et émouvant dans le sens où on ressentirait presque les caresses de ton héros ;-P
RépondreSupprimerJoli texte Mr Hat.
RépondreSupprimerMerci à tous ! :)
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