Cher lecteurs, je suis désolé d'avoir abandonné mon blog depuis si longtemps. En début d'année, il ne m'arrivais plus assez de choses intéressantes pour me motiver à écrire. J'avais l'impression d'avoir déjà dit tout ce que j'avais à dire. Et puis, ma vie a pris un cours nouveau au printemps, et cette fois, il m'arrivait trop de choses pour que j'ai le temps de les raconter !
Il est temps de faire le point, et peut-être d'écrire de vrais billets, autre que des annonces d'apéros (même s'il y en aura encore).
En mars donc, peu avant mon quarante-deuxième anniversaire, j'ai rencontré celle qui occupe mon coeur. Je ne l'ai pas su au premier regard. Ni même au premier baiser, que je lui ai volé dans une foule, alors que nous n'avions même pas encore eu le temps d'échanger plus de deux phrases. Non, je l'ai su dès que je l'ai tenue entre mes bras, que j'ai pu la manipuler à ma guise et que j'ai constaté que non seulement elle se laissait faire, mais qu'elle aimait ce que je lui faisais subir.
Après une longue nuit ensemble, j'étais accro. La première nuit de beaucoup, toujours plus folles et sauvages, tendres et câlines.
Des mots doux se sont échappés de nos lèvres. Des serments ont été échangés, dans un murmure. Des envies de construire ont émergé, comme des icebergs trop longtemps plongés sous les ondes glacées d'un célibat qui nous pesait tous les deux.
Deux saisons plus tard, j'écris cet article dans son salon. Ou plutôt dans nôtre salon, puisque j'ai emménagé chez elle, ma Miss Gueule-de-loup...
Il est temps de faire le point, et peut-être d'écrire de vrais billets, autre que des annonces d'apéros (même s'il y en aura encore).
En mars donc, peu avant mon quarante-deuxième anniversaire, j'ai rencontré celle qui occupe mon coeur. Je ne l'ai pas su au premier regard. Ni même au premier baiser, que je lui ai volé dans une foule, alors que nous n'avions même pas encore eu le temps d'échanger plus de deux phrases. Non, je l'ai su dès que je l'ai tenue entre mes bras, que j'ai pu la manipuler à ma guise et que j'ai constaté que non seulement elle se laissait faire, mais qu'elle aimait ce que je lui faisais subir.
Après une longue nuit ensemble, j'étais accro. La première nuit de beaucoup, toujours plus folles et sauvages, tendres et câlines.
Des mots doux se sont échappés de nos lèvres. Des serments ont été échangés, dans un murmure. Des envies de construire ont émergé, comme des icebergs trop longtemps plongés sous les ondes glacées d'un célibat qui nous pesait tous les deux.
Deux saisons plus tard, j'écris cet article dans son salon. Ou plutôt dans nôtre salon, puisque j'ai emménagé chez elle, ma Miss Gueule-de-loup...
Très joli billet, les renouveaux printaniers sont sans aucun doute les plus forts et les plus beaux. Nous, nous l'avions prédit avant même vôtre rencontre. C'était juste une évidence. A bientôt :)
RépondreSupprimerMiss Flo.
Content de te lire ici à nouveau !
RépondreSupprimerJ'en profite pour vous souhaiter à tous deux beaucoup de bonheur. T'ayant toujours connu célibataire épanoui, je dois dire que la vie de couple te va très bien également, si ce n'est mieux. ;)
J'adore ce billet et cette jolie histoire.
RépondreSupprimerMerci de l'avoir partagé <3
Quelques étapes essentielles et joliment racontées. Je vous en souhaite de nombreuses autres...
RépondreSupprimerToujours heureux de vous voir heureux tous les deux :)
RépondreSupprimerRavie pour vous. Et conservez les apéros, surtout.
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